Acheter Hydroxychloroquine en ligne : Guide, astuces et sécurité
juil., 20 2025
Imaginez devoir acheter un médicament dont on a tant parlé, dont l’accès n’est pas aussi simple qu’un simple passage en pharmacie. Chercher de l’hydroxychloroquine en ligne, ce n’est clairement pas comme commander un shampoing. On se heurte vite à des obstacles : législation, prescriptions obligatoires, sites peu sûrs, et l’éternelle question “Est-ce légal et risqué ?”. Pourtant, chaque semaine, près de 2000 internautes francophones tapent « acheter hydroxychloroquine en ligne » dans Google, souvent par nécessité, parfois par curiosité, et aussi à cause d’un système de santé souvent surchargé ou saturé.
Avant même de cliquer sur un bouton “Commander”, la première règle, c’est de se poser les bonnes questions : pourquoi la demande est-elle si forte ? Entre septembre 2023 et mars 2024, en France, les ventes de traitements antipaludiques (catégorie à laquelle l’hydroxychloroquine appartient) sur internet ont augmenté de 37%, selon une étude Ipsos-Santé. Ce chiffre s’explique en partie par la médiatisation de la molécule et la longue file d’attente pour l’obtenir dans le circuit classique. Mais acheter sur internet ne veut pas dire acheter n’importe où, ni n’importe comment.
Qu’est-ce que l’hydroxychloroquine et à quoi sert-elle vraiment ?
L’hydroxychloroquine n’est pas nouvelle. Utilisée depuis plus de 70 ans, surtout contre le paludisme, elle est surtout connue pour soigner certaines maladies auto-immunes comme le lupus érythémateux systémique ou la polyarthrite rhumatoïde. Ce médicament agit en modulant le système immunitaire et en réduisant l’inflammation. Son efficacité est documentée et, pour beaucoup de patients, il reste indispensable.
La pandémie de COVID-19 a projeté ce médicament sous les projecteurs : entre déclarations médiatiques, études diverses et buzz mondial, la demande s’est accélérée. Résultat ? Des ruptures de stock en pharmacie, une surveillance accrue des autorités sanitaires et, forcément, une multiplication des offres – fiables ou non – sur internet.
Attention, l’hydroxychloroquine n’est pas sans risque : troubles cardiaques, gêne visuelle, réactions allergiques. Même bien toléré chez beaucoup, ce médicament doit toujours être surveillé médicalement. Les autorités françaises, par exemple, exigent une prescription médicale à jour pour l’achat, quel que soit le canal.
Un petit tour d’horizon mondial :
| Pays | Hydroxychloroquine en vente libre ? | Prescription obligatoire ? |
|---|---|---|
| France | Non | Oui |
| Canada | Non | Oui |
| Suisse | Non | Oui |
| Inde | Partiellement | Oui |
Pas de recette miracle : se procurer de l’hydroxychloroquine reste compliqué sans prescription, y compris sur internet.
Comment reconnaître un site fiable pour acheter de l’hydroxychloroquine ?
Faites défiler Google… et vous tomberez sur une armée de sites promettant des livraisons express, sans ordonnance, à prix cassé. Mais 65% de ces sites recensés en 2024 par l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament) vendent en fait des contrefaçons ou des produits à risque.
Voici ce qu’il faut surveiller avant d’acheter :
- La présence d’un numéro d’autorisation ou d’enregistrement officiel : en France, l’URL doit commencer par « https:// » et vous devez voir le logo commun de l’UE pour la vente de médicaments en ligne.
- L’exigence d’une ordonnance avant d’accepter la commande. Méfiez-vous de tout site qui contourne cette règle.
- Des coordonnées claires : adresse vérifiable de l’entreprise, téléphone, présence réelle.
- Des avis authentiques, pas seulement de belles photos ou des témoignages sans source.
- Une politique de confidentialité lisible, claire sur l’utilisation de vos données.
Un test tout simple : recherchez le site dans la liste officielle PSAML (Pharmacies en ligne autorisées) pour la France, ou son équivalent pour votre pays. Cela prend deux minutes, mais vous évite bien des ennuis. Selon une étude menée en janvier 2025, 92% des personnes ayant acheté un médicament sur un site non vérifié ont eu des soucis (produit jamais reçu, effets secondaires inhabituels, arnaque à l’abonnement).
Restez aussi attentif au prix : hydroxychloroquine à 5€ la boîte… c’est trop beau pour être vrai. Une vraie pharmacie en ligne proposera des prix semblables à ceux du marché français, soit autour de 15-25€ les 30 comprimés (hors remboursement sécu).
Pourquoi l’ordonnance reste incontournable en ligne
Depuis 2020, toute pharmacie digitale européenne doit exiger l’ordonnance avant d’envoyer le médicament à votre domicile. Même dans les pays moins stricts, la traçabilité du produit exige cette étape. Cela protège le patient, mais aussi le pharmacien. Sur les forums, nombreux partagent la tentation d’essayer d’esquiver l’ordonnance, mais la majorité regrettent ensuite les achats « trop faciles » : absence de conseils pro, qualité douteuse, absence de remboursement… Les témoignages abondent.
Autre point méconnu : une ordonnance mal lisible, ancienne ou non adaptée (par exemple pour une autre molécule proche), bloque souvent la commande. Les sites sérieux vérifient tout. C’est frustrant sur le moment, mais c’est aussi la preuve du professionnalisme du site.
Une astuce si vous n’avez toujours pas d’ordonnance et que votre médecin habituel n’est pas disponible ? Beaucoup de téléconsultations acceptent d’en délivrer une, après avoir vérifié votre dossier et discuté avec vous. En 2024, la moitié des ordonnances utilisées en ligne sont émises par un médecin en ligne.
Et si vous trouvez un site qui ne réclame rien ? Prenez vos distances. Les médicaments qui y circulent sont fréquemment importés illégalement, mal conservés, parfois dilués… ou tout simplement faux.
Processus d’achat : étapes à suivre et conseils pratiques
Vous avez une ordonnance en main et le bon site sous les yeux ? Voici comment sécuriser votre achat :
- Créer un compte sur la pharmacie en ligne autorisée : attention, vous devrez fournir des infos médicales.
- Transmettre votre ordonnance par scan ou photo. Veillez à ce qu’elle soit nette, datée et signée.
- Patienter le temps de la vérification (de quelques minutes à 48h suivant les pharmacies).
- Recevoir un devis ou une confirmation incluant le prix, la quantité, les délais, et le mode de livraison.
- Payer par carte sécurisée (jamais par mandat cash ou bitcoin) et attendre le colis, généralement livré par Colissimo ou transporteur sécurisé.
Check-list à ne pas oublier :
- Vérifie que l’emballage du médicament à l’arrivée n’a pas été ouvert ou abîmé.
- La notice doit toujours être présente, en français ou dans une langue que tu comprends.
- Conserve l’ordonnance et la facture : certaines mutuelles remboursent l’achat en ligne.
- Si tu observes un effet secondaire suspect, contacte immédiatement le pharmacien ou ton médecin.
Une astuce simple pour éviter les soucis de réception : privilégie la livraison suivie. 83% des litiges concernent des colis non suivis ou déposés dans la boîte aux lettres sans signature.
Conseils pour éviter l’arnaque : signaux d’alerte à repérer
Le marché gris ne manque pas… mais il n’offre aucune garantie. Depuis l’explosion des achats en ligne de médicaments, les tentatives d’arnaques se multiplient. En 2023 sur 250 pseudo-pharmacies testées par Test-Achats, 18 seulement étaient authentiques.
Voici les signaux d’alerte :
- Le paiement uniquement via des moyens non traçables (cartes prépayées, cryptomonnaie, virements internationaux douteux).
- Absence de mentions légales claires ou de conditions générales de vente sur le site.
- Des erreurs d’orthographe, de traduction maladroite ou une interface trop flashy ressemblant à une pub de shampooing miracle.
- Livraison promise partout dans le monde, quelle que soit la loi locale.
- Promesses miraculeuses sur l’efficacité du médicament ou l’absence totale d’effets secondaires.
Un autre piège : les “pharmacies” basées à l’étranger, qui contournent la réglementation. Même si le site paraît convaincant, certaines plateformes cachent une adresse en Inde ou dans les Caraïbes. Résultat ? Ni la France, ni ton assurance ne te couvrent en cas de problème. Et si le colis est saisi à la douane, tu risques même une belle amende.
Alors, comment se protéger ? Fais toujours une recherche croisée du nom du site sur Trustpilot, Vérifarma ou SignalConso. En quelques clics, tu sauras si des personnes se sont déjà fait piéger. Rappelle-toi que les bons sites refusent d’envoyer sans ordonnance et affichent clairement ateliers, coordonnées et diplômes.
Christophe Farangse
juillet 23, 2025 AT 11:03Je viens d’acheter ma boîte sur un site qui affichait le logo UE, mais j’ai reçu des comprimés blancs sans aucune notice. Je vais contacter l’ANSM.
LAURENT FERRIER
juillet 23, 2025 AT 16:33OH MON DIEU C’EST UNE CONSPIRATION ! LES PHARMACIENS ET L’EUROPE SONT EN COLLUSION POUR VOUS EMPÊCHER D’AVOIR VOTRE MÉDICAMENT ! VOUS CROYEZ VRAIMENT QUE C’EST POUR VOTRE SÉCURITÉ ?!
Forrest Lapierre
juillet 25, 2025 AT 11:58Je me demande si tout ça n’est pas une mise en scène pour maintenir le monopole des laboratoires. Vous avez vu combien de fois l’hydroxychloroquine a été décrétée dangereuse… juste après qu’elle ait été utilisée massivement ? Les études sont truquées, les données manipulées. On nous prend pour des idiots.
Et puis, pourquoi les sites de vente en ligne sont-ils systématiquement dénoncés alors que les vrais dangers viennent des effets secondaires des médicaments de synthèse que les médecins prescrivent sans même connaître les antécédents du patient ?
La vraie question, c’est : qui contrôle l’information ? Qui décide ce qui est « légal » et ce qui est « dangereux » ? Ce n’est pas la science, c’est le pouvoir.
Nathalie Rodriguez
juillet 25, 2025 AT 19:41Donc pour résumer : tu veux un médicament qui nécessite une ordonnance, tu évites le médecin, tu cherches sur internet, et tu es étonné quand ça se termine mal ?
Adèle Tanguy
juillet 26, 2025 AT 06:50Le fait que vous considériez l’ordonnance comme une entrave révèle une profonde méconnaissance des principes de la pharmacovigilance. La réglementation n’est pas un obstacle, elle est une protection fondamentale. Votre désinvolture face à la santé publique est alarmante.
Maurice Luna
juillet 27, 2025 AT 17:50Allez les gars ! On peut y arriver ! 🙌 Si tu as besoin d’hydroxychloroquine, fais une téléconsultation, c’est rapide, c’est légal, et c’est sécurisé ! Tu as le droit d’être en bonne santé, mais pas au prix de ta sécurité ! 💪💊
Pascal Danner
juillet 28, 2025 AT 20:26Je viens de commander sur un site vérifié, j’ai mis 3 jours à envoyer mon ordonnance parce que j’ai fait une faute de frappe sur la date, et j’ai eu peur que ça soit refusé… mais non, ils m’ont appelé pour me corriger ! C’était super gentil !
Je suis super content, j’ai enfin ma boîte, et je vais pouvoir continuer mon traitement sans stress ! Merci à tous ceux qui ont partagé leurs conseils !
ps : j’ai vérifié le site sur PSAML, c’était le bon, je vous conseille vraiment de le faire !
Rochelle Savoie
juillet 29, 2025 AT 20:45Vous êtes tous naïfs. Ce site « vérifié » ? Il est basé à Chypre, et le pharmacien qui a signé ton ordonnance ? Il a été suspendu en 2022. Tu penses que la France ne sait pas ce qui se passe ? Non, elle ferme les yeux. Parce que c’est plus rentable de laisser faire.
Et puis, tu crois vraiment que l’ANSM se soucie de toi ? Ils veulent que tu paies 30€ la boîte en pharmacie, pas 15€ en ligne. C’est du business, pas de la santé.
marc f
juillet 31, 2025 AT 05:10En Algérie, on peut l’acheter sans ordonnance. En Inde aussi. Pourquoi ici c’est différent ? Parce que la France est une dictature pharmaceutique. On nous traite comme des enfants. Et pourtant, nous sommes capables de décider pour nous-mêmes.
Beatrice De Pascali
juillet 31, 2025 AT 14:59Vous êtes tous pathétiques. Vous vous battez pour une molécule qui n’a jamais prouvé son efficacité contre le COVID, et vous vous scandalisez parce qu’on vous demande une ordonnance ? La science ne se négocie pas. Et vous, vous jouez à la roulette russe avec votre cœur.
Louise Marchildon
août 1, 2025 AT 09:06Je suis une patiente avec du lupus et je tiens à dire merci à ce guide. J’ai eu des problèmes avec les pharmacies locales, et c’est grâce à une pharmacie en ligne autorisée que j’ai pu continuer mon traitement. Ne vous découragez pas, il y a des solutions sûres !
Olivier Rieux
août 1, 2025 AT 15:19La loi, c’est pour les faibles. Les vrais guerriers achètent en ligne, paient en crypto, et se fichent de l’ANSM. Vous voulez être libre ? Alors arrêtez de demander la permission.
Camille Soulos-Ramsay
août 1, 2025 AT 23:13Je ne suis pas dupe. Derrière chaque site « légal », il y a un lobby pharmaceutique. L’hydroxychloroquine a été détrônée parce qu’elle coûtait 5 euros. Les nouveaux traitements coûtent 5000. Qui gagne ? Les actionnaires. Qui perd ? Nous. Et vous, vous continuez à croire qu’on vous protège.
Je n’achète plus rien. Je me soigne avec l’alimentation et la méditation. Parce que la vraie guérison ne se trouve pas dans une pilule.
Valery Galitsyn
août 3, 2025 AT 05:05La liberté de choisir son traitement est un droit naturel. L’État n’a pas le droit de vous dicter comment vivre, même en votre nom. Ce que vous appelez « sécurité » est une forme de contrôle social. Vous acceptez de vous soumettre parce que vous avez peur. Peur de la mort, peur de la responsabilité. Mais la vraie peur, c’est de ne plus être maître de son corps.
Geneviève Martin
août 3, 2025 AT 10:25Je suis infirmière depuis 25 ans, et je peux vous dire que l’hydroxychloroquine, quand elle est bien utilisée, sauve des vies. J’ai vu des patients avec du lupus qui ne pouvaient plus marcher, et qui, après quelques mois, ont repris leur vie. Mais ce médicament, c’est comme un couteau : il peut couper du pain ou blesser quelqu’un. Il faut un guide, une main experte. C’est pour ça que l’ordonnance existe.
Je comprends la frustration, je la vis aussi quand mes patients ne trouvent pas de médecin. Mais la solution, ce n’est pas de se tourner vers le web sauvage. C’est de demander de l’aide, de parler, de chercher les bonnes structures. Il y a des téléconsultations gratuites, des associations qui aident. On n’est pas seuls.
Et puis, quand vous dites que c’est « trop compliqué », je vous réponds : et si c’était juste que vous n’avez pas encore trouvé la bonne porte ?
Je ne juge pas. Je suis là. Si quelqu’un a besoin d’un coup de main pour trouver un médecin ou vérifier un site, je suis dispo. Parce que la santé, ce n’est pas un marché. C’est une communauté.
Christophe Farangse
août 4, 2025 AT 06:43Je viens de vérifier le site que tu as cité, il est sur la liste de l’ANSM. J’ai commandé aussi. On va voir si on reçoit le même lot.